Laurent Melon

Il était une foi(e), Un artiste peintre, pffff.
Pourquoi pas cowboy ou Kill Bill ?
Ne pas comprendre, ne pas accepter, c’est aider. Ce cas sérieux de retour à l’enfance, surtout si celui-ci se prolonge, ou dans ce cas d’en être jamais sorti, est bien entendu du ressort des spécialistes.
En règle générale, ce descendant direct de la famille des Barbapapa, aura bien du mal dans notre société à s’affranchir à coup de Barbatrucs et de Barbalalas.
Comme le mentionnent certaines revues médicales, un entourage d’amis intelligents, ennuyeux et rébarbatifs, qui ne verseraient pas, chaque jour, un litre de bile dans leurs intestins, seraient voués à une mauvaise digestion, jusqu’à ce que les aliments se putréfient. Causant lourdeur et amertume jusqu’à la constipation.
Empoisonnant l’organisme, qui une fois abattu fait voir l’avenir tout en noir, à la limite de l’ulcération. Ça c’est de notre temps. Ces amis, totalement incompréhensifs sauront faire découvrir au pfff peintre, la cause immatérielle de cette fuite refuge dans le passé. Ne pas se faire de bile, serait-ce la solution?
Ce n’est pas en l’entourant de tendresse, mais en stigmatisant sa création comme une véritable
couillonnade, que l’artiste pourrait monter d’un cran dans la société civile, sauf si la mesure semble désespérée. Même si l’entourage dit bienveillant, préconise suppression des couleurs, papiers et pinceaux.
Il restera toujours la poésie et les chevaux !