Rencontre autour d’une table. Rencontre ? Le mot m’intrigue. C’est quoi une rencontre ? A-t-on vraiment la disponibilité d’esprit pour une rencontre ? Sur la table, un outil informel qui fait partie de mon champ de travail. Cette rencontre sera l’occasion de présenter les nouvelles parutions et celle de discuter : peut-on vraiment tout faire nous-même ? N’y a-t-il pas un moment ou nous aurions envie de lâcher et de disparaître du champ? Nous profiterons de cette rencontre pour fêter la disparition éminente de lepiphyte.
2017/
Aurore Laloy Inna Maaimura Ollivier Coupille André Avril Emmanuelle Bouyer Nicolas Vatimbella Pierre Hémon
Dulce Trejo Francesco Martins Sofi Hémon Maxime Deckers
l o l i g o ® est un projet initié par Sofi Hémon en 2010 suite à de nombreuses discussions avec
Giovanni Cognoli, musicien et graphiste. 1 fois par an, 4 personnes: André Avril, Ollivier Coupille, Paul KA et Sofi Hémon se réunissent en imaginant de nouvelles parutions. Succédant à Monique Dérudet, Maya Naruse est notre webmaster.
l o l i g o ® est une utopie. Je pensais que nous saurions acquérir plus d’indépendance, plus de joie à travailler ensemble et à inventer des formes parallèles. Je désirais créer des marges, des alvéoles, des panses. Il n’y aurait pas de ligne, pas de famille Je m’intéressais aux processus de création et aux voix multiples qui en émergent. J’observais que souvent l’interlocuteur nous
fait défaut. Un projet artistique peut avoir besoin d’une passerelle qui précède ou succède au projet en cour. La forme actuelle de cet outil prendra fin en 2018. Elle se métamorphose déjà. Un partenariat avec l’association Mydriase en Dordogne aura lieu entre décembre 2007 et le début de l’année 2019.
l o l i g o ® abrite une production d’œuvres d’artistes et d’œuvres de collaboration.
accueille des multiples et des expérimentations nomme résidence une période de travail sous son toit organise des micro évènements hébergés sur son propre site ou ailleurs
se développe avec et par ceux et celles qui le traversent.
est un pied de nez à l’idée qu’un artiste qui s’autoproduit est chose négative
est une marque délivrée et protégée par l’INPI: une protection somme toute imaginaire