La Mine, c’est la collecte d’objets en tout genre, c’est un bar associatif, une crêperie, un espace concert, un atelier de revalorisation tout public, et bien plus encore !
La Mine est un tiers-lieu dédié au réemploi et à l’innovation sociale basé à Arcueil, dans le Val-de-Marne. Au sein de cette structure, l’équipe déploie une ressourcerie, un atelier pour faire de la revalorisation d’objets et de loisirs créatifs à partir de récup’. La Mine possède également un FabLab un atelier d’auto-réparation de vélo, un café associatif et une crêperie.
Il ne manque plus de vous !

La Mine propose aujourd’hui de découvrir le travail de Camille Guillemain :
Amoureuse de l’image sous toutes ses formes, elle a commencé la photographie et le graphisme il y a dix ans avec l’envie de saisir un instant, un bout d’histoire et le figer à jamais. Mais l’image peut se raconter autrement, s’animer, se sonoriser. C’est donc tout naturellement qu’elle a évolué vers la vidéo, sortie diplômée des ses études en montage et motion design. Depuis, elle exerce à mon compte comme photographe, vidéaste et motion designer. Mêlant plusieurs disciplines, à la fois technicienne et réalisatrice, elle aime aller sur le terrain à la rencontre de mes sujets et s’isoler pour écrire des histoires, les mettre en image, les narrer avec le montage, et les sublimer par des effets sonores et visuels.

La Mine, pour Camille Guillemain, c’est cet ancien garage à l’abandon, réinvesti par des mécanicien·nes pas comme les autres; des acteur·rices du changement qui font ronfler des moteurs à énergies plus que renouvelables, avec une essence sociale et solidaire. Comment décrire ce village des possibles au sein d’une banlieue infinie, cette graine militante et écologiste qui germe dans une forêt capitaliste ? Camille Guillemain tente de répondre à ces questions en images, avec une série photographique et un documentaire, en allant à la rencontre de ces ouvrier·ères du changement qui œuvrent pour une autre société, avec des lendemains où l’écologie, l’économie sociale et solidaire ne soit plus qu’un discours, mais le quotidien de tous.